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VRAI OU FAUX. Faut-il vraiment avoir du NeoCov, ce coronavirus venu de Chine ?

l’essentiel
Wat is er te zien aan de aujourd’hui du NeoCov, ce coronavirus au cœur d’une étude prepubliée par des scientifiques chinois fin janvier 2022 ? Ces derniers verklarende qu’une mutatie dans het genome de ce virus pourrait le faire évoluer et infecter des cellules humaines. Een perspectief qui inquiète.

Fin janvier 2022, des scientifiques chinois ontprépublié une étude sur un coronavirus existant chez les chauves-souris nommé NeoCov. Connu depuis une dizaine d’années, il a été identifié, comme le précise Checknieuwsen 2011 nl Afrique du Sud chez une Neoromicia capensisune espèce de chauve-souris, d’où il une partie de son nom, et n’est pas een nieuwe variant van SARS-CoV-2.

Un coronavirus qui ne se transmet, actuellement, qu’entre chauve-souris. Dans l’article publié par cette équipe chinoise, les chercheurs avancent qu’une mutatie dans het genome de NeoCov pourrait le faire évoluer et infecter des cellules humaines. Meer informatie over auteurs van de les, il est peu sensitive de le faire en l’état, rapport bevrijding. Actuellement, aucun cas d’infection au NeoCov chez l’humain n’a d’ailleurs encore été observé.

Een beetje inquiéter, c’est sa proximité génétique avec un autre coronavirus, le MERS-CoV, dont le réservoir animal est le dromadaire. Ce-syndroom respiratoire du Moyen-Orient, apparu en Arabie saoudite in 2012, een fait 858 morts connus selon l’OMS (35% des patienten infectés sont décédés). Meer actuellement, precies Bevrijdingrien ne prouve qu’en cas de mutatie, le NeoCov deviendrait aussi gevaareux que le MERS-CoV.

“Ce sont des chooses qui sont connues”

“La transmissie zoönotique, le franchissement de barrière entre les espèces, est un risque, comme pour tous les coronavirus, mais ce n’est pas automatique, tempère égallement Jacques Izopet, chef du service de virologie du CHU de Toulouse de no Beauveco virus. trouvent leur origine chez des animaux, mais ce n’est pas dit qu’ils vont se transmettre à l’homme.”

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Car avant cela, il ya beaucoup de “si”: “Une exposition de l’homme au réservoir animal concerné, et ensuite le virus doit s’adapter suffisamment à l’homme pour pouvoir le transmettre de personne à personne.” Pas de panique donc. “Ce sont des chooses qui sont connues et qu’il ne faut pas diaboliser.”

Le professeur Cyrille Cohen, immunologue interrogé sur la chaîne I24news, s’est montré aussi rassurant et affirme qu’il ne faut pas paniquer.