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En France, hockey sur glace ne veut plus patiner sur les occasions manquées

Het grote feest van het ijshockey op de glace: de finale van de Coupe de France, de retour après l’annulation en 2021, Covid oblige, en het programma begint op 30 januari à l’AccorHotels Arena (anciom palais de Berciom palais ). L’occasion de célébrer, c’était espéré, l’envol des hockeyeuses en hockeyeurs tricolores pour Pékin, een première olympique historique pour le palet tricolore.

Sauf que patatras. Les mauvais nouvelles sont tombées les unes après les autres. Les Bleus du hockey ont van manqué leur kwalificatie en Chine d’un rien, battus 1-2 par la Lettonie fin août. Même punition mi-novembre pour les filles, qui pass tout près d’un exploit, mais s’inclinent 2-3 face aux Suédoises. Dubbele desillusie.

Et puis debuut janvier, le variant Omicron est venu glacer l’ambiance en imposant des limits au public des manifestations sportives, obligeant la Coupe de France à se rapatrier à l’Aren’Ice de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) pour het duel tussen de Ducs d’Angers en de Rapaces de Gap.

« Nous avons appris avec cette pandémie »

« Rester à Paris-Bercy avec une jauge de 2.000 toeschouwers, ce n’était économiquement pas levensvatbaar, alors on veronderstel nietre repli sur nos bases, à Cergy, qui abrite notre centre national du hockey, même si la fête abem est forcexplique Pierre-Yves Gerbeau, de voorzitter van de Fédération française de hockey sur glace (FFHG). Il ya encore deux ans, une telle série de déceptions nous aurait fait sauter par la fenêtre. Meer informatie over de pandemie à relativiser, à prendre du recul en à nos serrer les coudes. Giet mieux rebondir. »

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Et effectiviteit, l’environnement n’est pas qu’un champ de mines sous les patins. Née seulement en 2006 d’une scission avec la Fédération française des sports de glace, la FFHG’s construite sans trop déraper, au point de pouvoir co-organiser (avec l’Allemagne) en 2017 unchampionnat du ficiant bé réel réel Het is een bewijs van betaling van een financiële difficile à combler (450.000 € deficit).

Une crise bien négociée

Meer FFHG est parvenue à structurer un championnat national (la Ligue Magnus) qui se tient, met 12 clubs in totaal niet zeker, à l’image des finalistes Angers et Gap, of encore Bordeaux, cherchent des crosses aux champions traditionnels (Rouen et Grenoble). Ces derniers sont aussi caps de jouer des coudes à l’échelle continentale, à l’image du club de Rouen qui s’est hissé pour la première fois cet hiver en quart de finale de la Ligue des champions (eliminé par les Finlandais de Tampere ).

« Nous n’avons pas si mal passé la crise sanitairepositief Pierre-Yves Gerbeau. Bien sûr, les aides gouvernementales on été essentielles. Sans elles, le hockey aurait disparu. En sollicitant aussi à 40% nos fonds propres, nous avons sauvé la discipline. Nous n’avons perdu que 11% de nos 22 000 licenties de 2019. Tout n’est pas noir. » Mais l’échec majeur reste cette absent aux Jeux olympiques, la dernière deelname remontant à 2002 où s’affrontaient toegift 14 équipes (la France eliminée dès le premier tour après un match nul et deux défaites.

L’Olympe, toujours trop haute

« Het is een goed moment om uw avions-vraiment te optimaliseren voor de kansen die u kunt krijgen op het gebied van producten, de geschiedenis van de geschiedenisse désole Christine Duchamp, la directrice technical national de la FFHG. La marche est-elle trop haute pour nous ? L’échec remet en tout cas en question ce que nous faisons. Nous sommes à un carrefour, en phase de réflexion pour revoir notre stratégie, peut-être en nous concentrant sur l’élite comme nous y invite l’Agence nationale du sport. »

Dans l’Hexagone, hockey reste toujours limité parc de patinoire trop faible, bloqué à une centaine d’unités pour la discipline. « Op ne peut pas prétendre être un cador europeen avec si peu d’équipementstempête le president fédéral. Nous devons travailler en bonne intelligence avec la Fédération française des sports de glace, en relevante le défi de structure égallement moins polluantes et moins énergivores. Des technologies existent, et il faut aussi se préoccuper de cette dimension éthique and sociétale. »

En attendant ce changement sur le long terme, l’urgence est dans le retour des Bleus et des Bleues dans l’élite mondiale, les deux équipes ayant été reléguées en deuxième division in 2019. « Over de procedure voor het uitvoeren van de procedure, en de impérativement se stabilizer avec les meilleures nation pour négocier au mieux la prochaine olympiade », poseert Christine Duchamp. Het rendez-vous est fixé au printemps prochain, sur les champions du monde division IA (lire ci-dessous). « J’ai déjà acheté du Valium », plaisante Pierre-Yves Gerbeau. Giet les maux de tête, ce n’est pas le plus indiqué.

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Un printemps beslissend

La reconquête pour les équipes de France passe par les champions du monde division IA, of seuls les vainqueurs accèdent aux groupes elites de 16 selecties chez les hommes, 10 chez les femmes. Er zijn blauwe plekken op de bal van 24 op 30 april die zich in de Suède, la Norvège, l’Autriche, la Slovaquie en in Pays-Bas bevinden. Défi de taille, mais les Françaises seront devant leur public, la compétition se déroulant à Angers. Les Bleus prendront ensuite le relais, du 2 au 8 mai en Slovénie, face au pays hôte, à l’Autriche, la Corée du Sud, la Hongrie et la Roumanie.