Covid – Omicron : een vaag begrip van het vage, weerstand tegen immuniteit, herinfecties… Ce que craignent les experts avec BA.2

Le variant Omicron een change la donne. Moins sévère, plus contagieux mais aussi plus utile dans la quête de l’immunite collectief, la form dominante du Covid-19 dubbele campagne de vaccinatie intens een permis au gouvernement d’opter pour un allegiment des restricties.

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Neanmoins, Jean Castex n’avait même pas encore annoncé le calendrier ce jeudi soir, qu’un nouveau variant s’imposait déjà dans les réseaux sociaux et les médias. zoon naam: BA.2. Un sous-variant dont L’Indépendant vous apprenait l’existence le 14 janvier dernier.

Une semaine plus tard, que sait-on de BA.2 ?

Hé bien, il se propage lui aussi à une vitesse tout autour du globe : 40 pays on déjà signalé sa présence sur leurs territoires tels que l’Inde, le Denemarken, la Frankrijk et dernièrement le Royaume-Uni.

Nos voisins outre-Manche op même signalé 426 cas. Het is een moment dat moeilijk te bevestigen is met BA.2 est plus contagieux of encore moins sévère que la souche originelle d’Omicron, les autorités sanitaires du Royaume-Uni (UKHSA, United Kingdom Health Security Agency) met een ontwerp voor een variant “in onderzoek”, c’est-à-dire qu’une opvragen een été lancee. Soit le stade qui precède le statut “variant van zorg”, variant preoccupatie. Autrement dit, BA.2 est pris au sérieux.

Selon les Anglais, BA.2 ne présente pas les mutaties spécifiques d’Omicron ce le rend difficile à distinguer de Delta. D’après Meera Chand, verantwoordelijke des Covid-19 incidenten à l’UKHSA, “c’est la nature des virus de muteer et d’évoluer. Il faut donc qu’on s’attende à voir de nieuwe variantes émerger”.

Les Danois perplexes mais pas encore inquiets

Au Denemarken, BA.2 vertegenwoordiger van de belangrijkste des cas la semaine dernière en les experts n’exluent pas que la vage BA.2 provoque un deuxième pic de besmettingen. Soit een vage BA.2 dans la vage Omicron.

Anders Fomsgaard, chercheur au Statens Serum Institut (SSI) n’exclut d’ailleurs pas qu’Il se peut qu’il soit plus résistant à l’immunité de la bevolking. On ne sait pas encore. Il pourrait y avoir une possibilité que les personnes infectées par BA.1 ne soient pas à l’abri d’attraper BA. 2 peu de temps aprèsDes chercheurs danois perplexes mais pas encore inquiets, le nombre d’hospitalisaties n’ayant pas franchement augmenté.